Depuis des générations, l’être humain cherche le bonheur à l’extérieur. Découvrez pourquoi apprendre l’autonomie affective est la clé pour bâtir un bonheur durable, de l’intérieur vers l’extérieur.

Pendant longtemps, beaucoup d’entre nous ont cru que le bonheur était un privilège réservé à quelques chanceux, une récompense tombée du ciel pour ceux qui avaient une « bonne étoile ».

On nous a fait croire que le bonheur dépendait de l’extérieur : de nos réussites, de nos relations, de notre santé, du regard des autres. Et pourtant, malgré tous nos efforts pour posséder, faire ou bien paraître, combien restent profondément insatisfaits, anxieux, ou même déprimés?

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir une vérité libératrice :
Le bonheur durable ne dépend pas de ce qui nous arrive.
Le bonheur est une compétence intérieure qui s’apprend, qui se pratique, et qui peut se choisir.

Oui, devenir heureux s’apprend.
Et cet apprentissage est l’aventure la plus importante de votre vie.

Nous avons appris beaucoup de choses… mais rarement à devenir heureux

– On nous a appris à lire, à écrire, à compter… mais rarement à devenir heureux.
– On nous a appris à chercher le bonheur à l’extérieur de nous.
– On nous a appris à performer, à accumuler, à plaire… mais pas à nous aimer en tout temps.
– On nous a appris involontairement à refouler nos émotions : « Ne pleure pas », « Sois fort », « Ne fais pas de peine à maman »…

Petit à petit, sans même nous en rendre compte, nous avons appris à nous couper de nous-mêmes — en nous coupant de notre corps émotionnel. Nous avons, inconsciemment, involontairement et par ignorance, développé des réflexes mentaux nuisibles : nous juger, nous insécuriser, nous rejeter, et négliger nos besoins fondamentaux d’amour de soi.

Pourquoi il est urgent d’évoluer vers la conscience

Depuis la nuit des temps, l’être humain cherche son bonheur à l’extérieur de lui-même — dans le faire, l’avoir, le paraître — au lieu de comprendre que sa véritable source de bonheur est intérieure.

Cette quête illusoire s’est transmise de génération en génération, sans qu’il y ait de faute à blâmer, simplement par la loi naturelle de cause à effet : on ne peut enseigner ce que l’on n’a pas appris soi-même.

Même aujourd’hui, beaucoup de discours psychologiques s’étendent sur l’inconscience collective — mais trop rarement, ils mettent l’accent sur l’urgence vitale de reprogrammer notre manière de penser.

Car tant que l’humain restera prisonnier de ses vieux réflexes mentaux primitifs, il continuera, malgré lui, à se détruire intérieurement et à détruire ce qui l’entoure.

Il est temps de reconnaître que l’inconscience n’est pas une fatalité. Elle est un état de départ, mais elle doit être travaillée avec amour et rigueur pour grandir vers la conscience.

Nous ne sommes pas faits pour errer dans la souffrance :
Nous sommes nés pour l’amour, comme le poisson est fait pour l’eau et l’oiseau pour l’air.

Apprendre à penser autrement, c’est donc retrouver notre véritable nature, et non devenir quelqu’un d’autre.

Renée Marc-Aurèle, Thérapeute en autonomie affective

Cet article est inspiré de l’approche développée par l’École d’Autonomie Affective de Ginette Carrier, qui enseigne avec rigueur que le véritable bonheur durable s’apprend en reprogrammant consciemment nos habitudes de penser, et en devenant notre meilleur ami intérieur.

Formée à l’École d’Autonomie Affective de Ginette Carrier, je transmets aujourd’hui cette approche puissante pour aider chacun à apprendre à se rendre heureux durablement.

               Pour des infos sur l’accompagnement et la thérapie en autonomie affective écrivez à  vivrelebonheur@videotron.ca